Une vraie fausse fessée

Pour rire…heu ! enfin... !

Jusqu’ à l'adolescence, j’avais une expérience personnelle presque ludique de la fessée mais  le fantasme en tant que tel était déjà bien ancré en moi, c’est peu de le dire. Dès que j’entendais le mot « fessée » ou qu’un film, un roman, un article de presse… évoquait « la fessée » j’ entrais en transe.

J’ai reçu ma première fessée ‘en public’ à 16 ans et ce fut un grand moment !

Vous imaginez sans doute que j’ ai été punie très sérieusement, allongée sur les genoux d’ un correcteur sévère, jupe retroussée… Pas du tout ! Fi de l’ image d’ Epinal de la jeune fille fessée. Ce fut très  différent de  ce je vous devine  supposer. Ce fut une fessée…  pour rire !  Enfin… pas tant que cela !

Voici ce qui est arrivé.

J’ avais  arraché la permission de papa et maman de participer à un camp d’ados au lac des Settons dans le Morvan. C’ était ma première escapade de quinze jours sans mes parents.

Il y avait  une vingtaine  de jeunes d’ Autun de 14 à 16 ans.  Le groupe était encadré par un curé, que papa connaissait , qui était un homme d’ église en qui on pouvait avoir confiance, par un cuisinier et sa femme qui assuraient l’ intendance et par un jeune homme d’ une vingtaine d’ années, Jean Marc (  Coucou Jean Marc !) qui faisait office de moniteur.

Il était beau. C’était le plus mûr  des garçons et bien sûr j’ étais  folle de lui.  La journée il encadrait l ‘activité canoë sur le lac et  il animait les soirées: Feu de camp, chansons… essayait de gérer le chahut dans les tentes.

Comme tous les ados, nous donnions beaucoup dans la provocation. Un de mes jeux favoris  était de lutter  avec les garçons. En fait c’ était surtout pour avoir le plaisir de rouler dans l’herbe avec eux. Le beau moniteur n’ échappait pas à nos sollicitations. Il était guère plus âgé que nous et se prêtait à nos jeux. Nous lui sautions parfois à plusieurs sur le dos, essayions de l’immobilier en  nous asseyant sur lui. En fait c’était toujours lui qui finissait par nous retourner et nous nous retrouvions écartelées sous son corps musclé. J’adorais me retrouver ainsi étendue sur le dos, lui à cheval sur mon ventre me tenant les poignets dans ses mains puissantes, les bras écartelés, vaincue. Je gigotais tant que je pouvais pour  m’ échapper mais en fait j’aimais sentir son corps sur moi et  je cherchais surtout à  sentir …. Chut !

Ces jeux de luttes me ravissaient. Parfois il nous donnait de petites claques en signe de victoire et de châtiment ou bien il nous chatouillait. Et moi, bécasse, j’ étais  ravie de me trémousser entre les jambes de ce beau garçon.

Un après midi après le déjeuner, alors que les adultes faisaient la sieste, il était occupé à fumer tranquillement tout en lisant son journal. Tout le monde était là dans l’ herbe , plus ou moins avachi sous le soleil d’ août. Certains jouaient aux cartes, lisaient, écoutaient de la musique et moi, je m’amusais avec une autre fille, Marie Jeanne,  à provoquer le beau jeune homme, évidemment !

Chacune à notre tour, nous allions lui arracher son journal, lui faire tomber sa casquette, sa cigarette…. Au bout d’ un moment, le monsieur finit par être agacé par notre harcèlement. Il déclara que la première qu’ il attraperait « allait le regretter ». Nous étions ravies qu’ il s’intéresse enfin à nous !  C’ est mon amie qui la première poussa plus loin la provocation en essayant de lui arracher son journal pour la énième fois. Notre gentil moniteur menaça méchamment : « Vous commencez à me faire …. ne recommencez pas sinon … » Mais la belle continua sans se soucier de la menace et tout à coup Jean Marc réussit à la saisir par un bras et brutalement  l’attira sur lui de sorte qu’ elle tomba  allongée sur ses genoux. Il lui  colla brutalement deux claques sur les fesses avant de la lâcher. Tout le monde éclata de rire  sauf  l’intéressée qui finalement n’apprécia pas trop la réplique à laquelle elle ne s’attendait pas. De plus, nous étions en maillot de bain et Jean Marc  avait claqué sèchement.

Il ajouta en la relâchant quelque chose comme : « Je vous  préviens, si vous ne me foutez pas la paix je déculotte la première que j’attrape et elle va  recevoir une de ces fessées ! » Tout le monde avait bien ri !

Marie Jeanne n’avait pas insisté mais moi, toute émoustillée par le mot « fessée » et par ce que je venais de voir, je trépignais à l’ idée qu’ il puisse m’ attraper et se livrer avec moi à un simulacre de  fessée! J’avais bien envie moi aussi de recevoir deux ou trois claques somme toute gentilles sur les fesses données par le beau Jean Marc. Eh oui, cela peut sembler ridicule mais c’est comme ça.

J’ ai donc continué à le taquiner sans plus réfléchir  très excitée par la menace de la fessée. Lui, paraissait réellement agacé. Il avait repris son  journal sur lequel  j’ eus l’ idée d’ envoyer une basket qui traînait par là et qui atterrit effectivement sur sa cible qu’elle déchira lamentablement

Jean Marc se leva alors comme un diable sort de sa boîte et se précipita vers moi. Je pris mes jambes à mon  cou et lui échappa en tournant  au milieu  du  groupe avachi dans l’herbe. Il cria alors à la cantonade quelque chose comme: « Attrapez la et apportez la moi que je lui flanque sa déculottée ! » . Plusieurs ‘grands dadets’ se sont aussitôt levés et se sont précipités sur moi.

Je ne savais pas trop comment apprécier la menace. Cette promesse de "déculottée", selon l’expression de Jean Marc,  était-elle sérieuse ou était-ce un jeu  ? Dans le doute, je me suis bien évidemment sauvée en riant mais j’ai été vite rattrapée.

Réalisant alors que j’ étais pour de bon en danger d’ être fessée et qui sait, de me retrouver le maillot de bain sur les genoux, ne sachant pas trop si « c’ était du lard ou du cochon », comme on dit,  je me suis roulée par terre en me débattant mais des garçons m’ ont saisi par les pieds, d’autres  par les mains et m’ ont emmenée ainsi écartelée et hurlante jusqu’ au beau moniteur qui ne paraissait pas plaisanter. En fait, les garçons m’ ont traînée jusqu’à lui, mes fesses râpant parfois le sol. Quand ils sont arrivés près de lui ils m’ ont lâchée  et avant que j’aie pu me relever, Jean Marc a aussitôt essayé de me retourner sur le ventre. Moi, je poussais évidemment des cris de cochon qu’ on égorge en essayant de résister mais d’ autres garçons l’aidèrent et après une courte lutte acharnée, je finis tout de même par me retrouver plaquée au sol sur le ventre, Jean Marc à cheval sur mon dos. Il s’ était agenouillé sur mes épaules. J’avais ses jambes de chaque coté de mon visage et j’étais réellement incapable de bouger le haut du corps et je ne pouvais même pas me protéger les fesses avec mes mains.

Il faut dire aussi que sans être ronde, je n'étais pas vraiment mince et que j'avais de bonnes fesses, comme on dit. De ce coté là, je suis plutôt bien pourvue. Je portais un petit maillot deux pièces et j’ ai alors réalisé que mon slip de bain qui avait déjà en temps normal du mal a contenir mon popotin, au cours du trajet lorsque mon derrière a traîné par terre, puis au cours de la lutte, avait du remonter davantage encore dans la raie de mes fesses que j’ai senties à demi découvertes, tournées vers le ciel,  offertes, à la merci  de la  fessée promise. A cet instant, je m’attendais à recevoir 2 ou 3 claques, comme Marie Jeanne, pour amuser la galerie.  On ne fesse pas réellement une jeune fille de 16 ans, ça ne se fait pas ! Erreur : une pluie de claques s’est  soudain abattue sur mon derrière et j’ai alors vraiment réalisé qu’il ne restait plus guère de tissu pour me protéger car la fessée tombait en grande partie sur de la peau nue qui a commencé immédiatement à me brûler. En plus Jean Marc visait le bas des fesses qui était sans doute le plus découvert et le moins qu’on puisse dire c’est qu’ il ne faisait pas semblant de taper, le chameau !

Tout chavirait autour de moi. J’entendais le bruit mat des claques et les rires des autres qui avaient fait la ronde autour de nous pour mieux apprécier le spectacle. Pour ne pas paraître ridicule, je me suis forcée à rire très fort moi aussi comme si tout cela n ‘était qu’ une plaisanterie. Au fur et à mesure qu’ il me fessait  je riais de plus en plus fort mais les fesses me brûlaient et je ne savais plus si je devais continuer de rire, si je devais protester... Tout se mélangeait dans ma tête. Je me suis alors rappelée qu’ il avait dit qu’ il déculotterait la première qu’ il attraperait et  j’eus vraiment peur qu’ il baisse mon maillot de bain devant tout le monde. Un des jeux favoris des garçons n ‘était-il pas de se baisser les shorts par surprise et plusieurs s’ étaient déjà retrouvés en slip et parfois même à demi déculottés, pour notre plus grande joie ! Je m’attendais donc au pire mais il n’ en a heureusement rien fait.

Je me rappelle avoir entendu la voix de la femme du cuisinier qui est alors intervenue la première pour faire cesser le jeu. Elle paraissait outrée… Monsieur le  Curé qui avait été tiré de sa sieste par le vacarme nous a fermement priés de changer de jeu !

Je suis incapable de dire combien de temps la fessée a réellement duré. Peut-être 4 ou 5 secondes, peut-être 10, peut-être plus. Je ne sais pas. En tous cas, les claques ont crépité et elles se sont abattues très vite. Une vraie avalanche ! Je les entends encore  ! Je n’ai aucune idée du nombre  que j’ai reçues : peut-être 10 peut-être 20 ? Je ne sais pas si Jean Marc était réellement en colère ou s’ il faisait semblant,  en tout cas il m’avait fessée comme s’il avait voulu vraiment me punir et ce fut une vraie fessée  bien cuisante. Ce que je sais, c’est que bien qu’il n’aie pas toucher à la culotte de mon maillot,  du moins je ne m’en rappelle pas ou je ne m’en suis pas rendue compte,  j ‘ai eu l’ impression qu’ à la fin de la fessée,  mes fesses étaient presque toutes découvertes, ce qui fut sans doute la conséquence  de  mes gigotements. Je me souviens avoir tenté désespérément d’échapper à  mon correcteur, avoir battu des jambes. La fessée elle même avait  du achever d’ étirer  mon  maillot vers le haut. Dès que je fus debout, je fus  surprise par la brûlure qui s’était  emparée de mes fesses. J’avais  une terrible envie de me les frotter mais je n’ai bien sûr pas oser.

A cet instant, j ’ai ressenti une émotion énorme comme jamais je n’ en ressentirai peut-être surtout dans les premières secondes où debout, j’ai du affronter les autres, les rires amusés des copines et des copains . J’étais là devant eux comme un automate. Je devais être très rouge. J’ai essayer de rire moi aussi mais les fesses me piquaient vraiment. Je me souviens d’avoir aussitôt remis en place mon maillot de bain qui effectivement s’ était concentré dans la raie de mon pauvre derrière. Je n’ avais pas de miroir pour me rendre compte des résultats de la fessée mais étant donné la chaleur qui irradiait je suis sûre mes fesses devaient être bien rouges et qu’ une bonne partie de ce rouge dépassait du maillot. La honte ! Quand je me suis éloignée, j’ ai senti tous les regards des ados  hilares qui convergeaient sur mon derrière et ce fut un  moment de grand trouble. Je me suis finalement réfugiée sous ma tente et j ‘ai essayé de faire le point sur ce qui venait de se passer. Le beau moniteur n’y était pas allé de main morte. Je me demande encore aujourd’hui s’il a vraiment voulu me punir ou si pour lui ce fut seulement un jeu. En tout cas s’ il avait eu envie de s’adonner aux joies de la fessée sur une jeune fille il avait bien su exploiter l’ occasion que je lui avais offerte.

Je me suis frottée un moment les fesses à l’abri des regards et j’ai changé le maillot de bain pour  un short qui masquait davantage les rougeurs. J’ai attendu un bon moment avant de ressortir. J’ai du essuyer de nouvelles plaisanteries  en essayant d’en rire et de montrer moi aussi que j’avais bien rigolé. Pas tant que cela !

Les garçons surtout ont encore longuement plaisanté sur cette belle fessée et je me suis forcée à m’en amuser avec eux  mais j’avais tout de même du mal à supporter leur regard et en particulier celui de Jean Marc qui me regardait avec le sourire narquois du vainqueur, petit sourire qui en disait long sur l’ émotion que lui aussi avait du ressentir.

Plus tard nous sommes retournés sur le lac et j’ai du renfiler le maillot de bain. Je me demandais si mes fesses étaient encore roses et si on pouvait  s’ apercevoir encore que  j’avais été fessée. Toute la journée durant , j’ai  senti les regards des garçons qui se posaient longuement sur ma chute de reins ; C’ était à la fois gênant et assez agréable.

Le moment de honte dominé, je n’ai plus ressenti qu’ une immense émotion, un émoi sexuel incomparable que  je ne retrouverai sans doute jamais plus !

Cette fessée même si elle fut très courte, même si elle fut perçue par les autres comme un jeu d’ados,  demeure un instant très fort. J’avais tout de même été fessée ‘en public’, par dessus mon maillot de bain certes, mais fessée pour de bon, devant "des gens" ! Moi qui rêvait de fessées, j’avais été servie !

Sur le moment je pense avoir sincèrement regretté la tournure de ce petit jeu  car je me sentais tout de même très humiliée. J’ ai mis beaucoup de temps à retrouver mes idées. Aujourd’hui je revis souvent en songes cette fessée et c'est avec délectation.

Dans mes rêves les plus humides j’en améliore le scénario. Les mains du beau moniteur après s’être longuement abattues sur la petite culotte de mon maillot descendent lentement celle-ci sur mes cuisses malgré mes protestations et tandis que fusent les quolibets et  les sifflets , je suis encore longuement fessée sur mes fesses rouges et nues jusqu’ à ce que mon humiliation s’achève dans un torrent de supplications.… mais ce ne sont que des rêves !

Martine

Ce texte serait encore plus agréable à parcourir s'il était illustré. Si d'aucuns se sentent artistes ou possèdent des dessins ou des photos susceptibles d'illustrer cette jolie histoire, vos envois seront lespbienvenus. Merci: le Webmaster